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Vue que la culture historique de la ville de Zeramdine est la critère essentielle de la prospérité. D'après l'effort que fournit l’homme pour passer de la vie primitives à la vie moderne : on peut déduire que Zeramdine est une ville essentiellement ancienne : qu’on ignore sa date de création mais on sait qu’elle est peuplée depuis son existence. On y trouve des documents lui concernant dans toutes les époques.

Les témoignages existants dans plusieurs endroits de la ville et en ses banlieues ne fournissent pas assez de connaissances pour connaître son histoire avant l'époque romaine, mais en l’an 203 avant Jésus-Christ, le commandant  carthaginois « Annibal » est retournée de l’Italie avec ses armés après l’épopée de 17 ans en  "Ifriqiya"  et s’est installé aux ports  au sud de "Hadramaout" « Sousse » et s’est mis à croître son armée pour la préparer à la bataille de « Jama ou Zama ».

A cette période qui a dépassé l’année et s’est approché de deux ans l’armées carthaginoise a planté des milliers d’oliviers en commencent par la région du "Sahel" et en dirigeant vers l’intérieur du pays depuis d’un ordre de "Annibal" qui vise par cela deux buts : la population de la région et en donnant une partie aux « Barkeînnés » et l’accroissement de son armée par des guerriers de la région capables de combattre. Il faisait avec les familles des régions qu’il traversait pendant son épopée de Carthage à Byzance, au Rhône, aux alpes à toutes les régions Italiennes.

 Zeramdine fut connu par les champs des oliviers et elle est non loin des régions sahéliennes où Anibal s’est installé à 20milles, cela nous permet de dire que : les soldats de Anibal sont arrivés à Zeramdine pour y planter les oliviers et croître son armée, cela confirme que Zeramdine fut créé avant l’arrivée des Romains et cela dépasse l’estimation.
La présence romaine était présenté par Zeramdine était plus qu’une agglomération d’habitants isolées où recroquevillée sur lui-même, elle était un relais sur la route de Hadrumète Sousse qui englobe un point sur la ligne amenant à "table de Potinger" à Tizdrosse Eljam tableau de Boutinjar, se trouve entre Sousse et Eljam dans la région de Zeramdine actuellement. Ce nom fut attribué à la ville par plusieurs historiens "Avidus Vicus" (Charles Pisseau : par exemple dans son livre :"Découverte scientifique de Tunis _géographiquement la comparaison de Paris 1888).

Après les Romaines sont venus les vandales mais ils ne sont pas arrivés au Sahel et ils se sont arrêtes au Nord et à l’ouest de Carthage. Après sont venus les Byzantins. Ils sont entrés par l’est de pays et sont arrivés à Sbeïtla et peut être ils sont pénétrés à l’intérieur. Ensuite furent les conquêtes musulmanes du Sud vers le Nord ; suivies par la stabilité et la stabilité et la multiplication des capitales : Kairouan, Mahdia, Tunis et quelque ville se multiplièrent et deviennent des capitales. L’emplacement de Zeramdine est un relais entre Kairouan et Sousse ou entre Kairouan et Monastir et cette station était une étape de la route.

     Dans « l’excursion de Tejani en1307 avant Jésus-Christ :703h » on trouve que Zeramdine  est une fort très solide, sa base est construite en pierre et ses murs en argile. Là se réfugient les habitants. Elle fait une étape de la route et participe aux batailles qui déroulent  entre la famille royale aux se temps de houssainite dans la région du Sahel.
 Reste la  nomination : Comment la nomination Romane font remplacée par la nomination arabe ? On ne peut pas le confirmer scientifiquement pour plusieurs raisons dont les plus importantes sont :
-la présence Romaine en Tunisie a dépassé trois siècles.
-la présence vandale a dépassé un siècle mais ceci n’est pas arrivé à Carthage.
- la présence byzantine a dépassé trois siècles qui font le prolongement à la présence Romaine depuis qu’elle a transféré son capital de Rome à Byzance.
Cela veut dire que Zeramdine a porté son nomination Romaine plus de 8 siècles puis elle est devenue Zeramdine sans que ce transfert de la première nomination à la seconde nous permet de connaître une compréhension exacte pour le justifié en attendant le jugement définitif pour cette question.

     Dans le municipal de Zermdine remplace Sermddine. Si cela est vrai, la chose devient compliquée en ce qui concerne la richesse de notre langue arabe en signes en signification et en idées et cela ne se trouve dans les autres langues vivantes.
     Toutes les mémoires, la nomination vient d’une position envers ses habitants. C’est un groupe qui a rompu avec la religion ou la position envers un homme sévère qui rompu avec religion.

     Dans les références de langue arabe on trouve la ficelle s’est rompues, elle est coupée. Un homme sévère qui ne recule pas devant les obstacles. Le sévère celui qui impose ses idées et qui ne demande pas l'avis des autres. Alors la nomination entre ceux qui ont rompu avec la religion et ceux qui consacrés à la religion. La 2ème définition est la plus proche et cela est justifié par la présence de plus qu’une masquée ou d’un lieu d’une point dans la partie ancienne de la ville.
la ville des oliviers par ce que le bouton veut dire l’olive cela prouve que Zeramdine était une région pleine des oliviers qu’ont trouvé leurs restes dans les étangs ou sous les eaux et la glaise qu’on y trouve à Monsieur Tourki Bachir revient à la nomination de Zeramdine à abondamment. Dans un périmètre sans air elle se transforme en charbon, cela est conformé par la présence des lois de pierre en grande quantité (lignite) .on trouve dans la région de oued ‘ELcheb’ sous les ruines d’un gourbi un grand nombre des têtes de lances et des baïonnettes.

 

 

1-la tête de baïonnette est grande,son longueur ne dépasse pas  37cm, elle faite en glaisé, elle est durs comme le fer, tranchante comme le vers, on l’a utilisé peut être pour chasser l’éléphant  sauvage (mammnith) cet animal a disparu il y a plus de 20 000 ans .
 2-la tête d’une baïonnette est longue de 16cm est constitué de la même façon
3- la tête d'une baïonnette est 15cm fait en calcite.
4- Tete de baïonnette ou lance longue de 3,5 cm en silex pour la chasse des animaux ordinaires.
5- la tête d’une baïonnette est petite, fait en calcite et long de 5.5cm
Si cette étude est vraie, la ville a été peuplée il y a plus de     20 000.
A l’époque actuelle,le nom de Zeramdine fut trouvé dans plus d’une référence parmi d’autres villes e Sahel qui ont contribuée dans les batailles qui se sont déroulées entre les membres de la famille royale pendant la période des houssainites.
Dans le livre‘la libération nationales’ la ville a sa situation importante lors de l’arrivée du colonialisme français sur le plan du rébellion individuelle ‘ Issa Salah,Zhire Mohamed,Eliouni Elhechmi' au rébellion total, groupe de Wahchi Salah à la confrontation dirigé par les chefs du mouvement de la libération. La ville n’a cessé de confronter le colonialisme durant sa présence dans le pays. Beaucoup d’information disaient que le colonialisme était sur ses gardes Zeramdine et que les habitants étaient traités avec violence.
     La méfiance du colonialisme :
 Zeramdine n’a pas été renommé par la richesse en métaux en l’agriculture et n’occupe pas une position stratégique extraordinaire mais quand même en 1896 le colonialisme la met en considération parmi des villes de région et le fut la résidence du califat. Dans toute la région connu aujourd’hui par le ‘gouvernorat de Monastir ‘ on trouve la carte administrative ainsi le ‘Caida ‘ à Monastir et le califat à Zeramdine.
La violence de colonialisme :
    On prétend que le Sahel joint de la Sécurité pendant ce temps et surtout que le groupe des ‘quatre ‘ du Zeramdine qui est situé près du domaine du raid continue à verré en peux et jouit du respect de ses soumis pendant qu’elle se prépare sans doute aux autres attaques (dépêche tunisienne 31/05/1947).Des compagnes contre les armées du colonialisme en cite : Les attaques au résistance de la zone de Messoude etc....

-La revue hebdomadaire l’humanité a publié un télégramme qui lui a été adressé par sa majesté Ibrahim Abedelwajid Bacha président de l’union arabe en Égypte. Parlant des scandales   de Zeramdine.  Les Égyptiens se sont unis avec leurs frères Tunisiens surtout pendant cette cabonnite et les ont soutiens spécialement dans leur preuve Ezzahra 25/07/1946.

- Si on ne signale  rien de nouveau au Sahel,les brigands de Zeramdine et leurs subordonnés ne sont pas pris au piége  installé par la police ( dépêche tunisienne 26/02/1948 ) exactement deux mois après le…/04/1948 les quatre résistants sont décédé dans un piége installé par  le colonisateur dans la région da « Aiaicha » délégation d’Elktar gouvernorat da Gafsa  le mouvement des nationalistes ne s’est pas arrêté et beaucoup  des résistants de la ville ont continué la confrontation jusqu'à l’obtention de l’indépendance .